• Ne vous écartez pas, car ce serait pour suivre des néants qui ne servent à rien et qui ne peuvent délivrer, puisqu'ils ne sont que néant. - Lire dans le contexte

Versets semblables

  • A quoi bon une statue, sculptée par l'artisan, ou fondue pour enseigner la fausseté, si l'artisan de cet ouvrage se confie en lui pour en faire des idoles muettes ?
  • ce sont des absurdités, objets de quolibets : quand il faudra rendre compte, elles périront.
  • SEIGNEUR, ma force et mon abri, mon refuge au jour de l'angoisse, c'est vers toi que viendront les nations des confins de la terre en disant : Ce que nos pères ont reçu comme patrimoine n'est que fausseté, des absurdités toutes bonnes à rien.
  • Donc, peut-on manger des viandes sacrifiées aux idoles ? Nous savons qu'il n'y a aucune idole dans le monde et qu'il n'y a d'autre dieu que le Dieu unique.
  • Parmi les absurdités des nations, y en a-t-il qui fassent pleuvoir ? Serait-ce le ciel qui donne les averses ? N'est-ce pas toi qui es le SEIGNEUR notre Dieu ? Nous t'attendons, car c'est toi qui fais tout cela.
  • Ce sont eux qui le portent sur l'épaule, qui le supportent, qui le mettent au repos, au lieu que ce soit lui ! Il reste immobile : de sa place il ne s'écarte pas. Qu'un homme crie vers lui, il ne répond pas, de sa détresse il ne le sauve pas.
  • Rassemblez-vous et venez, avancez-vous ensemble, rescapés des nations : ils ne savent rien, ceux qui portent haut leur idole de bois, et adressent leur prière à un dieu qui ne sauve pas.
  • annoncez les choses à venir, et nous reconnaîtrons que vous êtes des dieux ! Voyons ! provoquez bien-être ou malheur, alors ensemble nous nous défierons du regard, et nous verrons !
  • Ils m'ont donné pour rival ce qui n'est pas Dieu, ils m'ont offensé par leurs vaines idoles. Eh bien ! moi, je leur donnerai pour rival ce qui n'est pas un peuple, par une nation folle je les offenserai.
  • Alors que je suis à bout de souffle, je me souviens et je dis : « SEIGNEUR ». Et ma prière parvient jusqu'à toi, jusqu'à ton temple saint.
  • Leurs idoles sont d'argent et d'or, faites de main d'homme :
  • Oui, il est double, le méfait commis par mon peuple : ils m'abandonnent, moi, la source d'eau vive, pour se creuser des citernes, des citernes fissurées qui ne retiennent pas l'eau.
  • Ainsi parle le SEIGNEUR : En quoi vos pères m'ont-ils trouvé en défaut pour qu'ils se soient éloignés de moi ? Ils ont couru après des riens et les voilà réduits à rien.
  • Ceux qui façonnent des idoles ne sont tous que nullité, les figurines qu'ils recherchent ne sont d'aucun profit, leurs témoins, eux ne voient rien, et, pour leur honte, ils n'ont connaissance de rien !
  • Voici ce qu'ils sont tous : une malfaisance ! Leurs oeuvres ? néant ! Leurs statues ? un souffle, une nullité !

En partenariat avec la Bible en ligne d'EMCITV